L’affaire Kerviel en quatre leçons
Notre ami Max s’appelait donc Jérôme Kerviel. Mouais. Nom déceptif, diraient les pubards. Je préférais Max. Ce type, auquel Sobiz a été parmi les premiers à consacrer une ode lyrique - reprise sur le site de l'hebdomadaire Marianne, est désormais une...